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Daniel : une lumière à Babylone

Les mots « Dieu », « Seigneur » et « Éternel » dans la Bible

26 Janvier 2020 , Rédigé par Misha

(Complément linguistique à l’article : Dieu manifesté en chair : la marque de la Famille divine)

 

a) Le terme grec théoss (θεός), « Dieu » apparaît plus de 1 300 fois dans le Nouveau Testament. Près de 700 occurrences sont au génitif, théou, soit « de Dieu », « venant de Dieu » ou « en relation avec Dieu », selon le contexte. En voici quelques exemples, tirés de l’évangile selon Matthieu et sortant presque tous de la bouche de Jésus :

— l’Esprit de Dieu (Matthieu 3.16), le Fils de Dieu (4.3), la bouche de Dieu (4.4), les fils de Dieu (5.9), le trône de Dieu (5.34), le royaume de Dieu (6.33), la maison de Dieu (12.4), le commandement de Dieu (15.3), la voie de Dieu (22.16).

Chez Jean, dans Romains 8 et 9 et Philippiens 2.15, on parle aussi des « enfants de Dieu ».

 

Il existe quelques mots dérivés à partir de théoss (chacun n’est employé qu’une seule fois) :

théodidaktoï (θεοδίδακτοί), « enseigné par Dieu » : 1 Thessaloniciens 4.9 ;

théomakhos (θεομάχος), « qui combat contre Dieu » : Actes 5.39.

théopneustos (θεόπνευστος), « inspiré par Dieu » : 2 Timothée 3.16

Le nom féminin theotêss (θεότης) signifie « divinité », mais au sens de « nature divine ». Il n’apparaît qu’en Colossiens 2.9 : « Car en lui [Christ] habite corporellement toute la plénitude de la divinité. » Toute la plénitude de la nature divine habite en Jésus-Christ ! On ne saurait être plus clair quand à la totale égalité qui existe entre le Père et le Fils. D’où la tentation gnostique de dissocier le Christ, en tant qu’esprit, de Jésus de Nazareth, en tant qu’homme, ce qui n’est pas biblique. Pas plus que la croyance démoniaque qui consiste à dissocier l’âme humaine du corps humain.

L’adjectif théioss (θεῖος), « divin, divine », quant à lui, apparaît trois fois, une fois dans Acts 17.29 et deux fois dans 2 Pierre 1.3-4 : « Sa divine puissance [θείας δυνάμεως] nous a donné tout ce qui est nécessaire à la vie et à la piété en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa [propre] gloire et par sa force. Celles-ci nous assurent les plus grandes et les plus précieuses promesses. Ainsi, grâce à elles, vous pouvez fuir la corruption qui existe dans le monde par la convoitise et devenir participants de la nature divine [γένησθε θείας κοινωνοὶ φύσεως]. » Segond 21.

 

Dans le NT, le terme théoss évoque souvent le Dieu créateur unique, en trois personnes. Voici quelques textes tirés de l’évangile selon Jean que l’on peut relier entre eux dans cette perspective. Le Père, le Fils et l’Esprit y sont présentés comme parfaitement égaux, on pourrait dire interchangeables s’ils ne jouaient des rôles distincts dans le plan du salut :

Jean 1.1 ; 3.16 ; 4.17 ; 13.31-32 ; 14.9, 16-18 (ouvrez votre Bible, pas votre smartphone !)

La même image plurielle de la famille divine se dégage du discours de Paul : comparez par exemple 2 Corinthiens 3.17 et 1 Corinthiens 12.3.

 

Cependant, dans le NT, le terme théoss, « Dieu », peut désigner d’autres personnes ou entités que le Dieu unique en trois personnes, notamment quand il est au pluriel : Jean 10.33-36 ; Actes 7.40 ; Galates 4.8 ; 1 Corinthiens 8.5-6. A cause de cette ambiguïté, venant de la culture gréco-romaine et du terme « dieu » (théoss) emprunté à la langue grecque, le NT ne dit jamais que Jésus est Dieu mais qu’il est le Seigneur, un terme qui renvoie sans conteste à Jéhovah dans l’esprit des lecteurs et auditeurs de l’époque. Voir plus bas et notre analyse de 1 Corinthiens 12.3.

Quant à la nécessaire alliance entre la divinité et l’humanité, en Christ le nouvel Adam, puis en nous par la foi, elle s’exprime par exemple dans : Marc 12.36-37 ; 1 Corinthiens 6.11, 17 ; 2 Corinthiens 3.18 ; 2 Pierre 1.1-8. Comparez avec les textes suivants dans l’Ancien Testament : 2 Samuel 23.2 ; Ésaïe 61.1 ; Ézéchiel 37.9-10 ; Zacharie 4.1-6. Vous pouvez allonger la liste.

 

b) Dans l’AT, le terme hébreu elohim (אֱלֹהִים) apparaît près de 2 600 fois, pour un volume de texte bien supérieur au NT, il est vrai. C’est le troisième mot de la Bible : bereshit bara elohim, mot-à-mot « Au commencement, il créa, Dieu… » Genèse 1.1. Le terme elohim est souvent traduit par « Dieu » mais pas toujours ; il désigne parfois aussi d’autres divinités ou des êtres célestes : Exode 18.11 ; Psaume 82.6-7 ; 95.3 ; Jérémie 16.19-21.

Notons que le terme elohim est un mot pluriel. Les « divinités », animées par des anges déchus, sont nombreuses et diverses. Mais le Dieu qui s’est révélé à Abraham puis à Moïse est une Divinité unique et plurielle en même temps, comme en témoigne Genèse 1.26 par exemple. Ils sont plusieurs à créer l’homme à leur image ! Dans l’AT, le Créateur est un Dieu unique, incomparable. Cela n’implique pas qu’il soit réduit à un individu, comme le voudraient les Témoins de Jéhovah. Dans le NT, on découvre que Jésus-Christ lui aussi est le Créateur : Colossiens 1.15-17 [1] ; Hébreux 1.1-3.

 

En hébreu, le terme el (אֵל) correspond à une forme brève et commune du mot « Dieu » dans le Moyen-Orient sémitique. Dans la Bible, el apparaît 248 fois, soit dix fois moins qu’elohim. On le rencontre beaucoup dans le livre de Job et dans les Psaumes. Il n’apparaît que six fois au pluriel (elim), notamment dans Exode 15.11 : « qui est comme toi parmi les dieux [elim], Éternel [YOHEVAH] ? ».

L’origine du terme el (אֵל) est discutée. Il se rattache probablement au mot ayil (אַיִל), qui désigne un bélier, mais aussi un pilier, un arbre majestueux, comme un chêne ou un térébinthe, un leader, un chef, quelque chose ou quelqu’un de fort. Psaume 88.4(5) : « je suis comme un homme qui n’a plus de force [ayil] ».

Le lien sémantique entre le mot el (אֵל) (dieu) et le mot ayil (אַיִל) (bélier, pilier, chef, force) transparaît à travers les exemples suivants d’utilisation du mot el :

Genèse 31.29 : « j’ai en main le pouvoir [2] [el] de vous faire du mal » (Ostervald).

Job 41.25 (ou 16 ou 17 dans d’autres versions) : « Quand il se lève, les forts [elim] ont peur, ils s’enfuient saisis d’épouvante » (Darby). Elim est ici traduit par les plus robustes, ou les plus puissants, ou les plus vaillants, dans les autres versions françaises. King James : « the mighty are afraid ».

Psaume 29.1 : « à l’Éternel, fils des forts [elim], rendez à l’Éternel la gloire et la force [3] ! » (Darby) ; La NBS traduit : « fils des dieux [4] », c’est-à-dire ceux qui appartiennent au monde surnaturel, céleste. Idem en Psaume 89.6(7) : « Qui est comparable à l’Éternel [YOHEVAH] parmi les fils des dieux [elim] ? » (Colombe)

En Ésaïe 57.5, elim peut désigner soit les idoles, c’est-à-dire les êtres célestes déchus, anciens « fils de Dieu », soit les térébinthes sous lesquels se déroulent les cultes idolâtres. Voir différentes versions sur levangile.com.

 

Au singulier, le terme el s’applique aussi au Dieu créateur, notamment dans :

— Exode 20.5 : « car moi, l’Éternel [YOHEVAH], ton Dieu [elohim], je suis un Dieu [el] jaloux… »

— Exode 34.6 : « L’Éternel, l’Éternel, Dieu [el] miséricordieux et compatissant, lent à la colère… »

— Exode 34.14 : « Tu n’adoreras aucun autre dieu [el] ; car Yahweh se nomme le jaloux, il est un Dieu [el] jaloux. » (Crampon)

— Daniel 11.36 : «Ce Roi donc fera selon sa volonté, et s'enorgueillira, et s’élèvera par-dessus tout dieu [el] ; il proférera des choses étranges contre le Dieu des dieux [el elim].» (Martin)

Dans ce cadre, el (אֵל) fait partie de diverses formes composées comme : el-‘elyon, le Dieu très-haut, Genèse 14.18-22 (4 occurences) ; el roï, le Dieu qui voit, Genèse 16.13 ; el shaddai, le Dieu puissant, Genèse 17.1 ; el ‘olam, le Dieu qui dure toujours, Genèse 21.33.

Notons que el (אֵל) s’écrit exactement de la même façon que la préposition signifiant vers, à, en direction de. Ce qui provoque parfois la répétition du mot el comme dans Psaume 43.4 : « Et je viendrai à l’autel de Dieu [elohim], au Dieu [el el] de l’allégresse de ma joie ; et je te [5] célébrerai sur la harpe, ô Dieu [elohim], mon Dieu [elohim] ! » (Darby) Cette identité entre le mot Dieu et la préposition vers suggère que la Divinité n’est pas statique mais dynamique, comme l’indique la vision d’Ézéchiel 1 et 10. La Divinité est donc un être de relations, d’où son caractère pluriel.

 

c) Le nom spécifique de la Divinité biblique, YOHEVAH, composé de quatre lettres (יהוה) (Yod-Hé-Vav-Hé), est un nom de famille, pas le prénom d’un individu. Ce Nom unique bat tous les records d’affluence avec plus de 6 220 occurrences dans l’AT. Cela fait beaucoup pour un nom réputé imprononçable [6] ! Ce Nom apparaît pour la première fois en Genèse 2.5. Il est souvent remplacé par le mot « l’Éternel », dans les versions Segond, mais le mot « l’Eternel » n’existe pas dans les textes originaux. Dans d’autres versions, il est remplacé par le mot « Seigneur », en imitation de la tradition juive, dans laquelle on remplace mentalement le nom de Dieu (יהוה) par le terme adonaï (אֲדֹנָי) qui signifie « Seigneur ».

Le nom YOHEVAH n’est pas repris dans le NT, car alors il aurait fallu le transcrire dans l’alphabet grec et le vocaliser, comme nous le faisons ici avec l’alphabet latin. Or cela aurait été perçu comme un manque de respect inacceptable dans la culture juive de l’époque. Les premiers chrétiens n’ont jamais cherché à choquer leurs frères juifs, même si le message de l’évangile, à savoir l’union de Dieu avec l’humanité, est choquant en soi.

 

d) Le terme adonaï (אֲדֹנָי) « Seigneur », quant à lui, est recensé 448 fois dans l’AT. Il apparaît pour le première fois en Genèse 15.2. Il sert à désigner la Divinité.

Adonaï serait une variante du terme adone (אָדוֹן), « seigneur », qui apparaît pour la première fois en Genèse 18.3. Cependant, sur 325 occurrences, adone apparaît près de 200 fois avec le suffixe yod (י) pour dire « mon seigneur » (adoniy אֲדֹנִי), par exemple dans Genèse 24, 2 Samuel 19, 2 Rois 18.23-27, Ésaïe 36.8-12. Or, dans les manuscrits hébreux originaux — sans la vocalisation ajoutée plus tard par les massorètes pour fixer la prononciation — adonaï (Seigneur) et adoniy (mon seigneur) s’écrivent exactement de la même façon : אדני. On pourrait donc très bien prononcer le mot original אדני, « adoniy », « Mon Seigneur », plutôt que adonaï, « Seigneur », même quand le contexte indique sans ambiguïté qu’il s’agit de Dieu, par exemple en Genèse 18.27.

 

Il est clair que la prononciation adonaï (אֲדֹנָי), inexplicable grammaticalement, est un code choisi par les massorètes pour indiquer quand le texte parle du Dieu créateur. A l’inverse, quand le texte leur semblait parler d’une créature, la prononciation adoniy (אֲדֹנִי) « mon seigneur », a été choisie.

En général, le contexte indique sans erreur possible si אדני désigne Dieu ou non. Mais, dans certains cas, plusieurs interprétations sont possibles. Dans Daniel 10.16-19, par exemple, Daniel s’adresse à un être céleste. Est-il divin ou non ? Pour les massorètes, non, il s’agit seulement d’un ange, puisqu’ils ont mis la prononciation adoniy, reprise par les traducteurs (« mon seigneur »). Mais il pourrait s’agir aussi d’un personnage divin : « mon SEIGNEUR » ou « Seigneur » (adonaï). Pour les mêmes raisons, en Genèse 18.3, le terme adone (אָדוֹן), « seigneur », employé par Abraham pour s’adresser à ses trois mystérieux visiteurs, pourrait aussi désigner à un être divin (« Seigneur »).

 

e) Dans le NT, le terme grec kurioss (κύριος), « seigneur », est très courant, avec plus de 720 occurrences, soit deux fois moins que theoss environ. Comme en hébreu, il peut s’appliquer soit à la Divinité, soit à une créature, comme dans Matthieu 27.63 (équivalent de « Monsieur » en français). Le terme kurioss désigne souvent Jésus, y compris pendant son incarnation dans une chair de péché. Comparez en particulier Matthieu 12.8, Luc 6.5 et Marc 2.28, de préférence dans le texte original grec [7]. Mais kurioss peut aussi désigner la Divinité en général (Matthieu 1.20 ; Actes 2.39) ou le Saint-Esprit en particulier (2 Corinthiens 3.17) [8]. Voir aussi 1 Corinthiens 2.16.

En Luc 3.4, kurioss désigne à la fois le Messie Jésus et Jéhovah : « Selon ce qui est écrit dans le livre des paroles d’Ésaïe, le prophète : C’est la voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, Aplanissez ses sentiers. » Luc 3.4 NEG. C’est vrai, à la synagogue, quand on lisait Ésaïe 40.3, on disait « préparez le chemin du Seigneur (adonaï) ». Mais, dans le texte d’Ésaïe 40.3, il est écrit « préparez le chemin de YOHEVAH ».

Ainsi Jésus-Christ lui aussi EST l’Eternel de l’AT : il est membre à part entière de la Famille YOHEVAH, la famille divine. Gloire à son humilité, grâce à laquelle nous existons aujourd’hui !

 

f) En conclusion, nous pouvons considérer que le mot grec théôss (θεός), traduit par « Dieu » dans le Nouveau Testament, est à la fois l’équivalent de l’hébreu elohim (un terme pluriel rappelons-le) et du nom de famille YOHEVAH.

Nous en déduisons également que le terme grec kurioss (κύριος), « seigneur », selon le contexte, peut correspondre au terme hébreu adonaï (אֲדֹנָי), « Seigneur ». Dans le NT, le mot « Seigneur » peut donc être un terme respectueux pour remplacer le Nom de YOHEVAH, comme l’est le terme adonaï, « Seigneur », dans la lecture de l’AT en hébreu. A voir dans le contexte.

Par conséquent, si nous croyons comme les apôtres que Jésus-Christ est un être divin, alors, dans le NT et dans les épîtres de Paul notamment, quand il est question de Jésus-Christ nous pouvons remplacer mentalement le terme « Seigneur » par le Nom YOHEVAH. Relisez les passages suivants dans cette optique : 1 Corinthiens 5.4 ; 12.3 (voir notre article) ; 2 Thessaloniciens 1.12 ; 2.1-16 ; 1 Timothée 1.2 ; 2 Timothée 1.2 ; Philémon 1.3 ; Hébreux 13.20 ; Jacques 2.1 ; 1 Pierre 1.3 ; 2 Pierre 1.2, 11 ; 3.18 ; Jude 1.4, 21, 25. Ouvrez vos Bibles ! en version papier de préférence, car comment ferez-vous quand vous n’aurez plus internet à disposition ??

 

Continuez cette réflexion avec l’article : 1 Timothée : La triade divine au service de l’humanité (à paraître prochainement).

 

 

[1] En Colossiens 1.15, le terme rendu par « premier-né », en grec prototôkoss, correspond au terme hébreu bekor (בְּכֹור). Ce terme est un titre, qui indique la fonction de la personne, son lien relationnel avec une famille ou un groupe, et non son essence : Exode 4.22 ; 13.12 ; Jérémie 31.9 ; Zacharie 12.10. Dans la Bible, « premier-né » est synonyme de « chef », « héritier ». Dans la famille divine, le Fils a été désigné comme l’héritier de la Création. Mais, à cause du péché, Dieu devra fusionner avec sa création, dans le Fils, afin de pouvoir « hériter », c’est-à-dire  récupérer ce qui est déjà à lui ! Cela s’appelle la Rédemption.

[2] Mot à mot : « il y a pour le dieu de ma main [el yadi, c’est-à-dire la force de ma main] pour faire avec vous du mal ».

[3] Hébreu ‘az (עֹז), une racine différente.

 

[4] En hébreu, la notion de « fils » englobe davantage qu’une simple filiation biologique ; ce trait culturel et linguistique se retrouve largement dans le Nouveau testament avec la notion de « Fils » (unique) de Dieu, mais aussi de « fils » du diable : Jean 8.44.

 

[5] Notez le changement impromptu de pronom personnel entre le premier vers (3e pers. du sing.) et le deuxième (2e pers. du sing.). Ce trait littéraire hébraïque est partout présent dans les Psaumes et dans les livres des prophètes. Soyez y attentifs lorsque vous lisez un de ces textes : parfois l’identification des personnes n’est pas aussi évidente qu’ici !

 

[6] A l’époque où des points et des traits ont été ajoutés de façon définitive au texte original hébreu pour préciser et fixer la pronciation, probablement au début du Haut Moyen-âge, le nom de Dieu était déjà réputé imprononçable par les érudits juifs, probablement depuis le retour de l’exil à Babylone. Sa prononciation originale, à l’époque d’Abraham, de Moïse ou de David, nous est donc totalement inconnue. YOHEVAH est un prononciation conjecturale provenant du nom des lettres le composant : yod, et vav. Plus de détails sur le Texte massorétique sur Wikipédia.

[7] Voir une analyse de ces passages dans l’article « L’observation du sabbat chrétien », paragraphe « Jésus est le seigneur du sabbat ».

[8] Voir comment les termes Seigneur et Esprit sont associés dans les passages suivants : 1 Corinthiens 12.3 ; 1 Corinthiens 6.17 ; Luc 4.18 ; Ésaïe 61.1 (un passage « trinitaire », mine de rien !).

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