Quand une femme utilise le sperme d’un homme pour procréer artificiellement, pour se reproduire plutôt que de laisser la vie advenir, elle est dans la toute-puissance et le refus de l'autre, donc le refus de la sexualité. C'est un chemin de mort.

 

Laisser la vie advenir — ce qui autorise la contraception — nécessite de passer par la sexualité proprement dite, donc l’hétérogénéité, la rencontre avec l’autre avec tout l’imprévu et donc le non maîtrisable que cela implique. C'est un chemin de Vie.